mercredi 14 octobre 2015

Désir fatal: De tout mon être de Abbi Glines


Anaïs16
Une unique didou pour ce livre:




"À dix-neuf ans, suite au décès de sa mère, Blaire quitte son Alabama natale pour trouver asile chez son père en Floride. Arrivée devant la luxueuse demeure, elle apprend que ce dernier est parti à Paris avec sa nouvelle femme, sans même lui avoir laissé le moindre mot. Et quelle n’est pas sa surprise de découvrir que la maison familiale est, en leur absence, devenue le lieu de toutes les soirées huppées du quartier ! À leur tête : Rush, vingt-quatre ans, adulé de tous, terriblement sexy… et son désormais demifrère ! À l’approche de l’été, qu’elle va devoir passer seule avec lui, Blaire résistera-t-elle à la plus divine des tentations ? "

  • Note globale : 6,5/10
  • Contexte-originalité: 6/10
  • Ecriture-Traduction: 6/10
  • Addictivité: 7/10
  • Personnages: 7/10
Vous vous dites certainement : " Rien de nouveau, du réchauffé".

Et c'est vrai, le début ressemble à tant d'autres; du moins jusqu'au 80 pourcent du livre.
Donc vous allez me dire, pourquoi continuer?
J'avoue que je n'ai pas de réponse concrète, juste que je n'aime pas abandonner un livre en cours de route.
Mais heureusement, les 40 dernières pages  relèvent le niveau.
L'intrigue finale est bien dirigée et surprenante, Blair que j'avais envie d'assassiner s'est réveillée et s'est dotée d'une maturité en 10 pages.
Et finalement au bout de 150 pages, on s'éloigne du cliché...Cela a été long, mais on y est arrivé! 
Maintenant, reste à voir si le deuxième tome maintient le cap et arrive à rebondir sur cette fin.

Un petit mot, sur la traduction , qui est limite et n'exploite en rien la beauté de notre chère et tendre langue française.


En conclusion,

je ne vous mentirai pas, sur le fait que c'est un livre à lire " absolument", mais si vous n'avez rien de mieux, ou que vous avez envie d'une histoire sans prise de tête, ceci est votre livre! 

Terminons sur de jolis mot:


" La porte se referma. Je levai le regard pour voir la chambre de motel vide autour de moi. Les adieux n'étaient pas aussi déchirants qu'on le prétendait. Je le savais, maintenant."


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